Déjà vu m'arrive tant de fois, mais pas dans le sens psychological. La semaine dernière, nous sommes entrés dans Suzette, un nouveau restaurante breton dans Mumbai, offrant une gamme des crêpes. J'étais excité parce que je n'ai jamais vu une crêpe avant. J'ai demandé une "crêpe aux épinards, feta, basilic frais et tomates fraîches", en essayant mon français livresque au cours. Que j'ai reçu était une choc électrique.
J'ai vu des crêpes avant—elles sont appelées les "dosas" dans ma langue. Les bretons les préparent de sarrasin, nous Tamouls de lentilles. Je viens de payer 20 fois plus pour quelque chose que je mange chez moi trois fois par semaine! J'admets qu'ils n'ont pas du fromage feta et des épinards, mais je peux les mettre dans un dosa, n'est-ce pas? Les seuls choses français de cette affaire etaient les couteau-et-fourchette, le désespoir Houellebecqien, et peut-être le Chopin jouant en arrière. Et bien sûr —déjà vu.
les rizières
. . . un buffle contourne
le tour électrique
Translation:
The more things change, the more they are the same.
Déjà vu happens to me all the time, just not in the psychological sense. Last week we entered Suzette, a new Breton-themed restaurant in Mumbai, offering a range of crêpes. I was excited because I've never seen crêpes before. I asked for a "crêpe aux épinards, feta, basilic frais et tomates fraîches", trying out my bookish French in the course. What I got was an electric shock.
I have seen crêpes before—they are called 'dosas' in my language. The Bretons make them of buckwheat, we Tamils of lentils. I had just paid paid 20 times more for something I eat at home three times a week! I admit they don't have feta cheese and spinach, but I can put them in a dosa, can I not? The only things French about the affair were the knife-and-fork, the Houellebecq-ian despair and perhaps the Chopin playing in the background. And of course—déjà vu.
rice paddies
. . . the buffalo skirts
the electric pylon
Published in Cattails
J'ai vu des crêpes avant—elles sont appelées les "dosas" dans ma langue. Les bretons les préparent de sarrasin, nous Tamouls de lentilles. Je viens de payer 20 fois plus pour quelque chose que je mange chez moi trois fois par semaine! J'admets qu'ils n'ont pas du fromage feta et des épinards, mais je peux les mettre dans un dosa, n'est-ce pas? Les seuls choses français de cette affaire etaient les couteau-et-fourchette, le désespoir Houellebecqien, et peut-être le Chopin jouant en arrière. Et bien sûr —déjà vu.
les rizières
. . . un buffle contourne
le tour électrique
Translation:
The more things change, the more they are the same.
Déjà vu happens to me all the time, just not in the psychological sense. Last week we entered Suzette, a new Breton-themed restaurant in Mumbai, offering a range of crêpes. I was excited because I've never seen crêpes before. I asked for a "crêpe aux épinards, feta, basilic frais et tomates fraîches", trying out my bookish French in the course. What I got was an electric shock.
I have seen crêpes before—they are called 'dosas' in my language. The Bretons make them of buckwheat, we Tamils of lentils. I had just paid paid 20 times more for something I eat at home three times a week! I admit they don't have feta cheese and spinach, but I can put them in a dosa, can I not? The only things French about the affair were the knife-and-fork, the Houellebecq-ian despair and perhaps the Chopin playing in the background. And of course—déjà vu.
rice paddies
. . . the buffalo skirts
the electric pylon
Published in Cattails
Comments
Post a Comment